un petit mot en passant

mot

oui !

ya pas à dire, vite passé !

On l'a connu plus expansif

sur ...

On l'a connu plus expansif

C'est rien de le dire, quand je le croise au super marché du coin, après lui avoir dit bonjour, je le laisse avec mon chariot quand il commence sa phrase, j'ai le temps de retourner sur le parking pour prendre un autre chariot, je fais mes courses, madame a le temps d'essayer 254 petites culottes, et moi de tester une trentaine de grands crus, et lorsque je reviens au premier chariot il finit tout juste sa première phrase.
Je m'empresse de dire que je suis d'accord (quand Mme est avec moi) ou de manifester mon désaccord (mais là on se fait mettre à la porte par les vigiles tard le soir) et dans les deux cas en rentrant à la maison Mme m'ordonne de trouver un site pour faire les courses sur le net

Coucou Spiral Si tu me lis Le café est toujours au chaud

c'est vrai ?

Spi c'est un plaisir de te lire , tu le sais, mais là c'est un peu court ...comme a dit un non moins célèbre personnage

le petit nouveau




allez tien histoire de vous distraire un peut voici un texte qui cache un petit secret...

saurez vous le découvrir ?

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Changer l'été pour qui l'aime, et toi devient moi.
Un air que je laisse, pour une rage bien sage en soi.
Et l'épée laissée, sur la paresse d'une caresse,
Je l'appel à cesser où je loupe cette coupe de sagesse.

Changer cet air, d'un geste qui reste une banderille,
L'enlever le courber Pour qu'il brille et parte en vrille.
Et j'aime ouvrir les ailes, instant mâché vite lâché.
Essais mon ères, Cette cassure me rassure en entier.
__________________________________

ah ben tu m'en diras tant !!!

Changer les T
Pour qui l'M

Et l'épée laissée = soit les P laissés soit version Novicius : les pets laissés

bien vu

Changer les T pour l'M, et Moi devient Toi.
Un R que je laisse, pour une H bien sage en soi.
Et les P laissés, sur la paresse d'une caresse,
Je l'appel à CC où je loupe cette coupe de sagesse.

Changer cet R, d'un geste qui reste une banderille,
L'enlever le courber Pour qu'il brille et parte en vrille.
Et j'aime ouvrir les L, instant mâché vite lâché.
SC mon R, Cette cassure me rassure en entier

Beuhh pas trouvé le fil de ton histoire...
Tu nous dis, Spiralbol ?

soit version Novicius : les pets laissés

Mais caisse donc "peuter" ?

Sinon en fait de l'art dramatique, l'expression corporelle libre à son état pur...
Une création furtive et volatile, l'émanation fugitive de son Moi profond.
En bref la reconnaissance plénière de son entité physique,
et cela se ressent .

Le dramaturge expert sachant pertinemment que pour conserver la valeur de cette œuvre éphémère,
il ne doit en aucun cas tenter de la matérialiser ou de la concrétiser devant son auditoire.
car en dévoiler la source mettrait fin au suspense,
le piment de l'énigme disparaissant des lors que l'assistance entière en connait le support...

bravo isami , mais il manque un petit quelque chose pour que l'on comprenne tout

Sans blague...

J'ai essayer de virer, échanger toutes les lettres-indices, pour voir si ce qu'il restait, voulait dire quelque chose et j'ai sombré dans un grand trou noir, une grande spirale infernale !


Moi depuis !

Changer l'été pour qui l'aime, et toi devient moi.
Un air que je laisse, pour une rage bien sage en soi.
Et l'épée laissée, sur la caresse d'une paresse,
Je l'appel à cesser où je coupe cette soupe de pages.
!!!!!!!!

Ben moi je pige queue d'âne !!!

tu avais saisie le "truc" Isami

alors je décode pour ceux qui n'aurait pas compris.

chaque début de phrase explique quel initial d'un mot il faut changer dans la deuxième partie pour changer un mot.

hi hi hi , même comme ça c'est pas simple a comprendre.

donc démonstration


Changer l'été pour qui l'aime, et toi devient moi.


changer le "T" pour qui l"M" et "T"oi devient "M"oi

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Un air que je laisse, pour une rage bien sage en soi.

un "R" que je l"S" pour une "R" age bien "S" age en soi

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Et l'épée laissée, sur la paresse d'une caresse,

et le "P" l"C" , sur la "P" aresse d'une "C" aresse

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etc......


quand a la signification du texte lui même, ben heuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu, comme dirait ceux qui veulent ce la péter en alignant des rimes qui ne veulent rien dire:

"C'est une formule de style"

En gros

une autre , une autre , une autre



Je pense les blés sures, qu'eux t'humes à fêtes, sangs le ça, voir, à l'un t'es rieur.
L'avaleur deux sept a vent hures, né doux leurre que l'ors, qu'eux, git sont je.
Les maux qui l'ex primait sonde, un pas c'est qui m'heures
Met m'aime , et facé , quel queue part ile m'eu rond je.
Ce senti ment, d'un puits sens fée part y dénoues.
Commune c'haine qu'y n'aurez pas debout

Je vous laisse à vos petits amusements

Où trouve t'il ça ?

Spi, c'est pas pour rien que j'aime tes dessins...on doit avoir un grain identique, tout la-haut, dans le bocal

La seconde est facile surtout après la première dont le sens m'a fait tourner les sangs !

Jouer des mots jouets,
D'écrire décrire,
Des maux à encrier,
D'écrits sourire.

Des mots secrets
d'émaux se créent.
Les maux et cris
Des mots écrits.

Qui sait chercher
Peut se trouver
L'instant cher chez
Gogol est caché

L'instant sans ailes
En forme originelle
Se trouve dans mes mots
Cherchant un seul mot